Rendre un membre perdu au plus grand nombre possible de victimes de mine antipersonnel et autres handicapés quels que soient leur religion, ethnie, milieu social ou lieu d’habitation.

 

Permettre à tout amputé de trouver du travail et subvenir aux besoins de sa famille.

 

Donner la possibilité aux enfants amputés de mener une vie normale, d’aller à l’école, de faire du sport.

Un enfant amputé à l’âge de cinq ans par exemple, aura besoin de 25 prothèses tout au long de sa vie, sans compter les réparations et ajustements entre chaque changement d’appareil.